Et on n’est pas américain, pourtant (OLLIVIER Jean) !!!
Et c’est ici Ford l’Irlandais qui s’exprime, pas Ford l’Américain (analogie entre l’exil de cette famille galloise et le propre exil de sa famille).
Il faut deux choses pour apprécier ce cinéma : un peu de recul (c’est pas Tarantino !) et un peu de vécu (avoir bourlingué un peu…) : cela évite en effet de voir l’Oncle Sam à tous les coins de rue, avec la condescendance qui va bien avec envers la soit disant « Amérique profonde », qui vaut bien, à mon avis, la « nomenklatura rive gauche »… déjà parce que sans la première, la seconde n’aurait plus eu l’occasion de pouvoir s’exprimer (1944).
Par : jean
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